La Femme de trente ans
LA COMEDIE HUMAINE – Honoré de Balzac XVe volume des œuvres complètes de H. DE BALZAC par Veuve André HOUSSIAUX, éditeur, Hébert et Cie, Successeurs, 7, rue Perronet, 7 – Paris (1874)
Scènes de la vie privée
LA FEMME DE TRENTE ANS
Analyse de l’oeuvre La Femme de trente ans est un des titres les plus connus de Balzac et correspond à l’une de ses œuvres les plus inégales. Ce sont les conditions de sa rédaction qui expliquent les inégalités de ton et de qualité qu’on peut constater entre les différentes parties. Ce que nous lisons aujourd’hui sous le titre La Femme de trente ans est le texte définitif, mis au point par Balzac en 1842 pour l’édition de La Comédie Humaine, d’une œuvre qui avait eu plusieurs présentations depuis sa première publication en 1832. Voici les phrases de cette rédaction. Les Scènes de la vie privée écrites par Balzac à partir de 1830 étaient une illustration de la Physiologie du mariage. Balzac déclarait qu’il avait écrit les nouvelles de ce recueil pour mettre en garde les jeunes filles et les jeunes femmes contre les emportements de leur imagination qui risquaient de compromettre toute leur vie. En 1830, il avait dans cette pensée commencé une nouvelle qui ne fut achevée qu’en septembre 1831 et qui portait pour titre Le Rendez-vous (dont Balzac changea le titre plus tard en celui de Premières fautes). Le but de cette nouvelle était de montrer comment une jeune fille peut gâcher sa vie par un moment d’engouement pour un bel officier, dans lequel elle découvrira un mari faraud, insensible et prétentieux. Quelques mois plus tard, au commencement de 1832, Balzac publiait dans la Revue de Paris deux nouvelles qui n’avaient aucun rapport avec Le Rendez-vous. L’une de ces nouvelles se nommait Les deux rencontres, l’autre se nommait Le Doigt de Dieu. Les hasards de la publication firent que Les Deux rencontres parut avant Le Doigt de Dieu, ce qui n’avait pas d’importance puisque ces deux nouvelles n’avaient pas plus de rapport entre elles qu’elles n’en avaient avec Le Rendez-vous. Le Doigt de Dieu racontait un crime atroce, un crime d’enfant camouflé en accident : un petit garçon, par jalousie, poussait son jeune frère dans la Bièvre au cours d’une promenade et le noyait. On comprenait que cette jalousie avait pour origine une préférence manifeste de la mère pour un des deux enfants. Dans Les Deux rencontres, un fugitif qui vient de tuer pour venger son père, pressé par ses poursuivants, vient demander protection dans une maison inconnue. La fille de la maison, qui paraît accablée par des remords secrets, découvre dans ce fugitif un malheureux qui s’est mis comme elle hors la communauté des autres hommes. Elle est bouleversée par ce destin pareil au sien. Elle s’enfuit avec cet inconnu. Celui qu’elle aime devient un héros du mouvement de libération de Bolivar, il écume les mers pour bloquer les côtes, elle partage son destin, l’accompagne, elle est heureuse. En attaquant un navire marchand, ce corsaire trouve parmi les passagers le père de la jeune fille, il le reconnaît, il l’épargne et le fait débarquer : c’est la première rencontre. Plusieurs années plus tard, la fille, après un naufrage où son mari a péri, a pu gagner la côte espagnole, passer la frontière, elle est recueillie avec son dernier enfant, dans une hôtellerie d’un village thermal. Elle retrouve sa mère par hasard dans cette hôtellerie et meurt dans ses bras. Aucun rapport, en apparence, avec les deux nouvelles précédentes. Le lecteur pressent un mystère tenant au passé de la jeune fille qu’on ne lui explique pas. C’est à ce moment seulement, quelques mois plus tard, en octobre 1831, que Le Rendez-vous paraît dans La Revue de Paris. Cette nouvelle intimiste était une des meilleures études de psychologie féminine de Balzac. Balzac décrit avec audace une situation sur laquelle la plupart des femmes gardent le silence, les déceptions de la vie conjugale qui entraînent bientôt la répugnance de l’intimité conjugale, le courage de la jeune femme pour garder les apparences, la nullité et l’égoïsme du mari, son indifférence, bientôt son abandon au moment où la naissance d’un enfant fait entrevoir un espoir. Ensuite, la torpeur, le dégoût de la vie, malgré l’enfant. Cette vie décolorée, sans lumière, sans avenir, est transformée quand la jeune femme découvre qu’un homme l’aime en secret, qu’il peut être admis auprès d’elle. Cet amour platonique est une renaissance. La joie de vivre, la lumière reviennent, toute la jeunesse se réveille dans cette âme qui n’avait plus de force. Cet amour blanc se termine par une tragédie.Un retour imprévu du mari, un moment de panique, une nuit glaciale sur un balcon entraînent la mort de l’homme qui était pour cette femme toute la poésie et la noblesse de l’amour. Balzac faisait dire à son porte-parole Félix Davin : « En aucune partie de son œuvre, M. de Balzac n’a été ni plus hardi, ni plus complet. Le Rendez-vous est un de ces sujets impossibles dont lui seul pouvait se charger… »
Sainte-Beuve, lui-même, qui n’aimait pas Balzac, fait une exception en faveur du Rendez-vous qu’il nomme « un petit chef-d’œuvre », prédilection que Paul Bourget, Alain, André Maurois ont affirmée eux aussi. Rien dans ces trois nouvelles, d’un ton et d’une inspiration si éloignés, ne pouvait inviter le lecteur à les relier l’une à l’autre. Les noms des personnages étaient différents, certains d’entre eux étaient désignés par des initiales, aucune allusion, dans ce premier état des trois récits, ne renvoyait de l’un aux autres. Une quatrième nouvelle, qui n’était pas plus explicite que les précédentes, parut en avril 1832 dans la Revue de Paris sous le titre de La Femme de trente ans, titre qui fut utilisé plus tard pour le roman et remplacé alors par celui de A trente ans. Encore une fois, un autre nom fut utilisé pour désigner l’héroïne. C’est une jeune femme qui a eu dans sa vie un grand amour brisé par la mort prématurée de son amant, et qui s’est retirée du monde depuis plusieurs années. Un jeune diplomate s’attache à elle, finit par s’éprendre. L’amitié naît entre eux, puis la tendresse. La nouvelle ne conclut pas, elle se termine par un mot stupide du mari. Mais on devine…Et le lecteur devine aussi, pour la première fois, qu’il peut y avoir un lien entre cette nouvelle et Le Rendez vous : mais il devine grâce à une ambiguïté bien étrange. Balzac a un modèle pour ce portrait. La marquise qu’il met en scène est évidemment la marquise de Castries qu’il va aller rejoindre à Aix-les-Bains quelques mois plus tard. Elle était célèbre par sa liaison avec le fils du chancelier Metternich dont la mort prématurée avait brisé sa vie. Une phrase de la nouvelle fait allusion à cette mort. Le lecteur confond : il croit à une allusion au dénouement du Rendez-vous. Cette confusion, à cette date, n’était pas involontaire. Un mois plus tard, en effet, Balzac réunissait les quatre nouvelles pour en faire un seul volume de la seconde édition des Scènes de la vie privée. Mais on s’aperçut en composant ce tome que la « copie » fournie par les quatre nouvelles était insuffisante. Il dut composer très rapidement une cinquième nouvelle qu’il intitula L’Expiation. Une femme vieille, inquiète, voit le dernier de ses enfants, une fille qu’elle adore et qu’elle a eue de son amant, devenir la maîtresse du fils de celui-ci. Elle arrive trop tard pour tout avouer à sa fille et elle en meurt de chagrin. Ce volume de la seconde édition des Scènes de la vie privée ne portait aucun titre général. Il était, en apparence, comme les trois autres tomes, un recueil de nouvelles. Mais en tête de ce tome, Balzac avait placé une Note de l’éditeur, qui définissait clairement son intention : « J’avais prié l’auteur d’intituler ce dernier volume Esquisse de la vie d’une femme, trouvant dans l’ensemble et le caractère des cinq épisodes qui le composent un plan suivi, un même personnage déguisé sous des noms différents, une même vie, saisie à son début, conduite à son dénouement et représentée dans un grand but de moralité. » La note continuait en déclarant que l’auteur avait préféré faire confiance à l’intelligence de ses lecteurs. Ce qu’il fallait comprendre n’était pas très clair. Dans Le Rendez-vous (aujourd’hui Premières fautes), Balzac ne disait d’abord rien d’original en montrant qu’une jeune fille a tort de se marier sans écouter les avertissements de son père. Il le répétait dans toutes les nouvelles écrites en 1830. Mais dans la suite, et encore plus dans La Femme de trente ans (aujourd’hui intitulée A trente ans), il faisait un plaidoyer pour les femmes auxquelles tout bonheur est refusé à la fois lorsqu’elles se trompent elles-mêmes dans leur choix ou lorsqu’on leur impose un mariage de convenance : même un attachement pur et irréprochable peut être pour elles la cause d’une catastrophe. Après ce plaidoyer, Balzac semblait traiter un thème tout différent en montrant dans Le Doigt de Dieu et Les Deux rencontres, les conséquences tragiques de l’adultère sur la destinée des enfants, les jalousies et les haines que la préférence visible de la mère peut entraîner, les drames domestiques qui naissent de ces situations. Mais ces conséquences d’un adultère qu’on laissait seulement supposer étaient si étranges et si exceptionnelles que le lecteur était enclin à les tenir pour imaginaires. Ces destins juxtaposés et attribués à des couples différents rendaient obscur « le grand but de moralité » que l’auteur se proposait. Balzac prit le parti d’être plus clair dans la troisième édition des Scènes de la vie privée qui parut en 1834. Il donna à ses cinq nouvelles le titre général de Même histoire, indication plus explicite que la modeste Note de l’éditeur de 1832. Mais il arriva à Balzac un nouveau malheur. La justification de cette nouvelle édition n’était pas la même que celle de 1832 : à nouveau le tome se trouva trop court et il fallut faire des additions. Balzac se servit admirablement de cette circonstance. Il ajouta une nouvelle, Souffrances inconnues, qui devint la deuxième du recueil et fit suite au Rendez-vous. Cette nouvelle montrait le désespoir d’une jeune femme qui vient de perdre l’homme qu’elle aimait sans s’être donnée à lui, qui vit seule, volontairement éloignée de son mari, ne parvenant pas à aimer la fille qu’elle eut de lui, brisée. Un vieux prêtre essaie de la ramener à la religion, n’y parvient pas et lui annonce une destinée sinistre. Cette nouvelle de liaison établit une filiation entre la première nouvelle et celles qui suivent. Mais surtout, elle donne une force nouvelle au plaidoyer pour la femme par une mise en accusation du mariage de convenance beaucoup plus violente et absolue que celle de la Physiologie du mariage. En terminant ce nouvel épisode, Balzac écrivait à Mme Hanska : « Vous lirez Souffrances inconnues qui m’ont coûté quatre mois de travaux ; elles ont quarante pages : je n’ai pas écrit deux pages par jour…C’est à faire frémir tant cela est vrai. Jamais je n’ai été tant remué par une œuvre. » Cette nouvelle présentation qui contenait en outre plusieurs éditions, destinées à rendre plus claire la correspondance des épisodes, ne fut pourtant qu’une version transitoire. La Femme de trente ans ne reçut sa forme définitive qu’en 1843 quand Balzac la corrigea à nouveau pour la faire entrer dans sa grande édition de La Comédie humaine. Le titre du roman apparut pour la première fois, les titres des différentes nouvelles furent changés et devinrent des titres de chapitres, les noms des personnages également et tous les épisodes devinrent alors les moments d’un même destin, celui de Mme d’Aiglemont. De nombreuses retouches de détail s’ajoutant à celles de 1834 donnèrent plus d’unité à l’ensemble. Le vicomte de Lovenjoul, célèbre collectionneur qui a été le premier exégète de Balzac, a très bien donné la raison de cette unification tardive. Le premier épisode de cette vie de femme se situant en 1813, il était impossible qu’on pût parler de sa « vieillesse » de mère coupable avant l’édition de 1843. Quelque fut l’habilité de Balzac, ces corrections ne pouvaient faire disparaître les différences de ton et de vraisemblance qui existaient entre les parties intimistes du roman et les aventures des dernières parties. Balzac était conscient de ces difficultés irréparables. Relisant Les Deux rencontres pour cette réédition de 1843, il avouait tristement à Mme Hanska : « Je n’ai pas eu le temps de refaire ce mélodrame indigne de moi. Mon cœur d’honnête homme de lettres en saigne encore. » Autre étude de femme, que nous plaçons ici, est un nouvel exemple des œuvres composites de Balzac. Elle fut publiée pour la première fois en 1842 pour fournir un nombre de pages suffisant au tome II de La Comédie humaine : mais, à l’exception de la mise en scène, destinée à présenter les interlocuteurs, toute la nouvelle est composée de contes écrits par Balzac dix ans plus tôt, en 1832, et déjà publiés en revue ou utilisés dans d’autres œuvres. Le début seul est de 1842 : c’est une conversation entre gens d’esprit à la fin d’un souper, montage qu’on retrouve fréquemment chez Balzac. Henri de Marsay, le plus brillant des dandys de Balzac, raconte sa première aventure féminine. Ce sont Les Premières armes d’un lion, titre utilisé peu après pour une nouvelle édition. La conversation s’engage ensuite entre les convives et c’est cet échange spirituel, vif, dans lequel chacun apporte son anecdote, qui permet l’insertion des fonds de tiroir du romancier. On verra donc défiler à la suite, d’abord quelques fragments d’Une conversation entre onze heures et minuit publiés en 1832 dans le recueil collectif des Contes bruns et La Mort de la duchesse, court fragment de même origine, enfin le morceau de bravoure, La Grande Bretèche ou Les Trois vengeances, enfin dans La Muse du département.
Histoire Julie s’éprend du colonel Victor d’Aiglemont, bel homme dans lequel elle découvrira un mari faraud, insensible et prétentieux. Balzac y décrit avec audace une situation sur laquelle la plupart des femmes gardent le silence, les déceptions de la vie conjugale pour garder les apparences, la nullité et l’égoïsme du mari, son indifférence, bientôt son abandon au moment où la naissance d’une enfant, Hélène, fait entrevoir un espoir. Ensuite la torpeur, le dégoût de la vie, malgré l’enfant. Cette vie décolorée, sans lumière, sans avenir, est transformée quand la jeune femme découvre qu’un homme l’aime en secret, un jeune anglais Lord Arthur Grenville, et qu’il peut être admis auprès d’elle en tant que médecin. Cet amour platonique est une renaissance pour Julie. La joie de vivre, la lumière reviennent, toute la jeunesse se réveille dans cette âme qui n’avait plus de force. Cet amour se termine par une tragédie. Le retour imprévu du mari, un moment de panique, une nuit glaciale à rester sur un balcon entraînent la mort d’Arthur qui était pour Julie toute la poésie et la noblesse de l’amour. Malgré sa maternité à laquelle elle se raccroche, Julie n’aime pas sa fille Hélène à qui elle lui voudrait une autre voix et d’autres yeux. Cette enfant d’un mari qu’elle ne peut souffrir lui est insupportable. De son union, Julie aura aussi un fils Charles qui aura toute sa préférence. Lors d’une promenade en famille, à l’insu des adultes, Hélène pousse par un mouvement de rage Charles qui tombe, dévale le talus et se noie dans le lit de la Bièvre. Tout le monde croira à un accident et Hélène en gardera toujours le secret. Julie aura deux autres enfants : Abel et Moïna. On apprend que Moïna est née de sa liaison avec le diplomate et marquis Charles de Vandenesse. Un soir, un fugitif qui vient de tuer pour venger son père, pressé par ses poursuivants, vient demander protection chez le colonel d’Aiglemont. Accablée par ce remord secret et malheureuse auprès d’une mère qui la rejette et qui l’humilie, Hélène s’enfuit avec cet inconnu. Celui qu’elle aime devient un héros du mouvement de libération de Bolivar. Il écume les mers pour bloquer les côtes. Hélène partage son destin, l’accompagne. Elle est heureuse. En attaquant un navire marchand, ce corsaire trouve parmi les passagers le père d’Hélène (Victor d’Aiglemont). Il le reconnaît, il l’épargne et le fait débarquer : c’est la première rencontre avec le père. Plusieurs années plus tard, Hélène, après un naufrage de l’Othello où son mari a péri a pu gagner la côte espagnole, passer la frontière. Elle est recueillie, épuisée avec son dernier enfant, dans une hostellerie d’un village thermal. Elle y retrouve sa mère et sa sœur Moïna venues prendre les eaux. Hélène meurt dans les bras de sa mère. La fin de l’histoire pourrait s’intituler L’expiation bien que le dernier volet s’intitule La vieillesse d’une mère coupable. Sur sa vieillesse Julie lègue toute sa fortune à sa fille préférée Moïna. Elle vit sous le joug et le despotisme de cette enfant gâtée. Moïna ne montre qu’indifférence et mépris à sa mère de laquelle, elle n’accepte aucun conseil. Cette pauvre mère, voit son dernier enfant, sa fille adorée et qu’elle a eue de son amant le marquis de Vandenesse, devenir la maîtresse du fils de celui-ci. Elle arrive trop tard pour tout avouer à sa fille et elle en meurt de chagrin. En effet, victime d’un malaise cardiaque, Julie, mourra sans avoir pu recouvrer la parole. Paris 1828-1844
Généalogie des personnages D’Aiglemont : Marquis Victor d’Aiglemont (1783-1833). Epouse Julie de Chastillonnest (1797-1844), d’où : Hélène née en 1817, morte vers 1833. Enlevée par le pirate Victor, d’où quatre enfants morts jeunes ; Charles tué par Hélène ; Gustave, mort jeune laissant une veuve et des enfants ; Moïna qui épouse Saint-Héreen ; Abel tué devant Constantine. On peut supposer que sauf Hélène, ces enfants sont issus de la liaison de leur mère avec Charles de Vandenesse. En ce qui concerne cette famille toutes les dates sont approximatives. Grenville : Arthur, Ormond, lord. Anglais décédé en 1823. Vandenesse : Famille noble de Touraine représentée par un marquis de Vandenesse, mort vers 1827. A épousé une Listomère, d’où : Charles, comte puis marquis, diplomate né en 1790. Epouse Emilie de Fontaine, veuve Kergarouët, d’où au moins un fils, Alfred. Charles est aussi le père des quatre derniers enfants de Mme d’Aiglemont ; Félix, vicomte puis comte, né en 1794. Epouse Marie-Angélique de Grandville née en 1808, d’où : une fille qui épouse Listomère, une autre fille. Il faut citer, en outre, un abbé de Vandenesse, grand-oncle des précédents.
1) Source analyse/histoire : Préface, tirée du tome V, recueillie d’après le texte intégral des œuvres de la Comédie Humaine publié par France Loisirs 1985 sous la caution de la Société des Amis d’Honoré de Balzac.
2) Source généalogie des personnages : Félicien Marceau « Balzac et son monde – Gallimard ».
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