Balzac La Comédie Humaine Analyse de texte Etude de l'œuvre 100 analyses de texte de la Comédie Humaine de Balzac Description détaillée des personnages Classement par 7 types de scènes 26 tomes étudiés en détail

Le Curé de village

LA COMEDIE HUMAINE – Honoré de Balzac XIIIe volume des œuvres complètes de H. DE BALZAC par Veuve André HOUSSIAUX, éditeur, Hébert et Cie, Successeurs, 7, rue Perronet, 7 – Paris (1877) 

Scènes de la vie de campagne

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      Le curé de village

  LE CURE DE VILLAGE    

Analyse C’est un des plus émouvants romans de Balzac, qui fait suite au Médecin  de campagne dans les Scènes de la vie de campagne. Le Curé de village, projet conçu en septembre 1838, fut publié en feuilleton dans le journal La Presse en deux fois, en janvier 1839, puis en juillet et août 1839, et ne fut édité en librairie qu’en mai 1841, après d’importants remaniements. Comme Le Médecin de campagne, c’est l’histoire d’un miracle qui transforme un canton, celui de Montégnac, aux confins du Limousin et de la Corrèze. Comme Le Médecin de campagne, c’est aussi l’histoire d’une réparation, celle d’une faute grave, rachetée par une vie de dévouement : mais cette réparation n’est pas celle d’un juste qui se réhabilite devant sa conscience, mais une rédemption devant Dieu. « Le Curé de campagne, dit Balzac à Mme Hanska, est l’application du repentir catholique à la civilisation comme Le Médecin de campagne est l’application de la philanthropie, et le premier est bien plus poétique et plus grand. » Le secret de cette tragique histoire n’est comprise qu’à la fin du récit. Ce clair-obscur répandu sur tout le roman est aujourd’hui une de ses beautés. On sait bien, on finit par savoir que ce roman raconte le crime d’une femme, le repentir, la confession ; et que ce crime a échappé à la justice des hommes ; que les prêtres ont deviné beaucoup, et que finalement le génie tout paysan de l’abbé Bonnet a frappé comme il fallait l’âme orgueilleuse de Véronique. Balzac exprimait par cette obscurité son opinion qui consiste à indiquer dans une préface qu’il ajouta en 1841 à la première édition en librairie du Curé de village : « Dans le plan de l’auteur, ce livre, loin d’offrir l’intérêt romanesque assez avidement recherché par les lecteurs et qui fait tourner vivement les pages in-octavo qu’on ne relit plus une fois le secret connu, lui paraissait si peu intéressant pour le goût du public qu’il a semblé nécessaire de le relever par une conception dramatique, empreinte du caractère de la vérité, mais en harmonie avec le ton de l’ouvrage. » Cette phrase assez embarrassée, est l’aveu d’une mise en scène préméditée. Le Curé de village en tant « qu’image du repentir catholique » offrait peu d’intérêt romanesque : il a donc fallu le relever par une présentation dramatique. « Il existe, reconnait-il alors, dans l’ordre moral et non dans l’ordre dramatique, une solution de continuité…Jusqu’à l’arrivée de Véronique à Montégnac les événements ne sont évidemment que les préliminaires du vrai livre. Le principal personnage est M. Bonnet autour duquel les personnages doivent graviter, tandis que, dans l’ouvrage, tel qu’il est publié, le curé ne joue qu’un rôle secondaire. » Balzac s’excuse alors en déclarant que son roman, tel qu’il aurait voulu le faire, en mettant au premier plan l’action apologétique de l’abbé Bonnet, serait devenu un livre impossible à vendre. Il concluait par cette consolation : « Pour ce qui est de l’ouvrage dans son état actuel, il a son sens, l’histoire y est complète, et peut-être trouvera-t-on qu’elle est une des plus touchantes parmi celles que l’auteur a inventées. » Il y a deux aveux dans cette préface. L’un reconnaît que le clair-obscur est un subterfuge dramatique inventé par le romancier pour soutenir l’intérêt. En effet, le lecteur devine peu à peu, soupçonne la vérité, mais il ne la connaît tout entière qu’au dénouement lors de la confession publique de Véronique : et encore lui faut-il lire avec attention pour comprendre que Véronique a approuvé l’idée du vol, qu’elle a même suivi de loin la scène et qu’elle a été épouvantée en percevant les cris qui lui annonçaient l’assassinat. L’autre aveu, plus grave, est la constatation que l’ouvrage est incomplet dans sa signification : « Par quels moyens, objecte Balzac, le curé Bonnet a-t-il fait d’une population mauvaise, arriérée, sans croyances, vouée aux méfaits et même au crime, une population animée du meilleur esprit, religieuse, progressive, excellente ? Là, certes était le livre. » C’est en effet, l’objection que peut faire en même temps que Balzac tout lecteur qui réfléchit. Et Balzac précise même, à cet endroit de sa préface, ce qu’il aurait dû mettre dans cette indispensable avant-scène qui aurait raconté la conversion des habitants de Montégnac avant de montrer la reconversion de Véronique. « Pour ceux qui s’apercevront de cette lacune et qui sympathiseront avec les pensées longtemps méditées qui ont dicté le Curé de village, l’auteur avoue avoir réservé (c’était l’invention primitive) un livre dont le plan se trouve (ou se serait trouvé) entre l’arrivée de tous les personnages sur la scène (il s’agit des collaborateurs de Véronique Graslin pour la transformation de Montégnac) et la mort de Mme Graslin.

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            Tascheron

Ce livre contient (aurait dû contenir) la conversion au catholicisme de l’ingénieur protestant, l’exposition des doctrines de la monarchie pure tirée des choses si éloquentes de la vie au fond des campagnes, divers épisodes où le curé Bonnet se voit à l’œuvre, qui servent à expliquer les moyens employés par lui pour réaliser son projet évangélique, et parmi lesquels l’auteur regrette particulièrement (c’est Balzac qui souligne ensuite) la première communion au village, le catéchisme fait par le curé, la classe des frères des écoles chrétiennes, etc. Le Curé de village, si Balzac avait pu le réaliser selon ce plan, aurait donc été une œuvre didactique, faisant exactement le pendant du Médecin de campagne, au lieu de l’œuvre dramatique que nous lisons. Ce livre d’images, inspiré des idées du grand théoricien catholique Louis de Bonald, aurait été une sorte de contrepartie de L’Emile de Jean-Jacques Rousseau. Il aurait été ainsi un exposé complet et cohérent des idées politiques et religieuses de Balzac. Ce n’est pas, toutefois, cette lacune fondamentale qui a retenu l’attention d’Alain, théoricien d’une politique radicale-socialiste très éloignée de ces préoccupations. C’est une autre lacune qu’il signale, moins grave, et probablement volontaire, car elle était nécessaire à cette pénombre dramatique que Balzac avait voulue. « Il reste dans ce roman, dit-il, une partie non écrite, non pas même esquissée, et que nous ne saurons jamais : ce sont les amours de Tascheron, ouvrier de poterie, et de Mme Graslin, femme du plus riche banquier de Limoges. Les indices qui nous restent, comme ces chaussures fines qu’on dit que Tascheron portait quelquefois, détournent l’imagination dans quelque ruelle nocturne où tout va se perdre. Un autre indice, vivant, mais muet, est la vieille maman de Véronique, qui ne sait et ne sut jamais que l’aimer et l’aider, et qui évidemment a tout su. Mais tout quoi ? La marche de cette passion violente et assassine ne nous est connue que par quelques effets…Le lecteur doit remarquer ces choses et encore d’autres : ce qui arrive pendant le procès dans le salon de Véronique, Mme Graslin, toujours plein d’amis, parmi lesquels le procureur du roi. On y remarque de rares signes, et que la vieille mère, qui ne cesse de faire le guet, recouvre aussitôt. On n’en sait pas plus ; et finalement on n’en saura pas beaucoup plus… » Lacune ou habileté ? Tout cela contribue à cette sorte d’envoûtement que Balzac a voulu.

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         Véronique, expiatrice

Cette mise en scène dramatique ne vint pas du premier coup. Les tergiversations de Balzac ont été mises à jour par l’étude des épreuves et des fragments de manuscrit qui nous sont parvenus. Cette étude a fait l’objet des travaux de Ki Wist, publiés à Bruxelles entre 1959 et 1964. La version publiée dans la première série des feuilletons de La Presse est sensiblement différente de la version définitive. Le roman commençait alors par le récit de l’assassinat commis par Tascheron et par l’exécution de celui-ci. Les premières lignes du manuscrit de ce feuilleton qui a été conservé montraient l’évêque et ses grands vicaires contemplant de la terrasse de l’évêché le paysage de la Vienne, scène qui a été transportée beaucoup plus loin dans la version définitive. Suivait l’histoire du crime. Cette première partie du feuilleton semblait une histoire complète puisqu’il se terminait par le mot fin. Sous cette forme, c’était le récit d’un crime inexplicable. Dans les feuilletons parus six mois plus tard en juillet 1839, les lecteurs de La Presse apprirent l’histoire de Véronique Graslin : un seul mot qui lui échappe au dénouement permettait de deviner la vérité. Cette fois encore, le roman paraissait complet puisque le mot fin était imprimé à nouveau après le dernier de ces feuilletons. Néanmoins, dans une dernière série de feuilletons publiés du 30 juillet au 1er août 1839, les lecteurs de La Presse pouvaient lire le récit de la mort de Véronique, connaître les travaux qu’elle avait accomplis à Montégnac et savoir enfin le secret des événements par sa confession publique. La version publiée en feuilletons était, sous cette forme, encore plus énigmatique que la version définitive. Elle ressemblait déjà à ce que nous appelons aujourd’hui un « roman policier » dans lequel le coupable n’est dévoilé qu’au dénouement.

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 Sauviat, marchand               de fer

Il fallut encore d’énormes additions, en particulier sur la transformation des terres arides de Montégnac, avant d’arriver à la version du Curé de village publiée en librairie, qui est celle que nous lisons actuellement. Des événements de la vie de Balzac, son voyage à Bourg pour tenter de sauver le notaire Peytel qu’il avait connu autrefois et qui avait été condamné à mort pour assassinat, les répétitions d’une pièce de théâtre de Balzac intitulée Vautrin et son interdiction après la première représentation, la publication de l’éphémère Revue Parisienne, la saisie judiciaire de la maison et les terrains acquis aux Jardies, près de Sèvres, enfin la rédaction de plusieurs œuvres pour faire face à ses engagements, expliquent le long délai de vingt et un mois entre le dernier feuilleton de La Presse et la sortie du volume en librairie en mars 1841.Mais les additions importantes de Balzac sur le texte des feuilletons y sont aussi pour une bonne part. Même pour les lecteurs qui ne savent pas tout cela, Le Curé de village est une œuvre singulière à plusieurs titres et d’abord parce que le curé campagnard qui donne son titre au roman n’est ni le personnage du premier plan ni même un personnage qui s’impose au souvenir du lecteur par quelques traits vigoureux : Balzac l’a reconnu et a expliqué pourquoi. Mais ensuite et pour la même raison parce que ce roman de la campagne esquive la description des paysans. Dans la version que nous lisons aujourd’hui, tout le premier chapitre, l’enfance et le mariage de Véronique , est une admirable « scène de la vie de province », et non une « scène de la vie à la campagne ». Limoges, un vieux quartier, une boutique centenaire dans laquelle un ferrailleur auvergnat, un des plus beaux spécimens d’avare de Balzac, entasse tout ce qu’il a pu glaner en quinze ans de tourmente révolutionnaire, fortune inconnue et colossale de pilleur d’épaves. Là-dedans une jeune fille pieuse, silencieuse, secrète, une de ces admirables et muettes jeunes filles de Balzac qu’une lecture bouleverse, qu’on marie à un banquier très riche et passablement dégoûtant, qui est à trente ans une sorte de reine de Limoges, belle, respectée, solitaire dans ce luxe qui lui est étranger. C’est un très beau départ balzacien, mais sans paysans. Ces paysans sont escamotés, à part un bagnard qui n’a rien d’un cultivateur limousin. Ce qu’on voit, c’est un propriétaire terrien et ses grands travaux. Et ce propriétaire terrien, on s’aperçoit avec surprise qu’il n’annonce pas du tout le fougueux général qui, dans Les Paysans, défendra son domaine contre les convoitises, mais, au contraire, un personnage analogue à ce « beau caractère de grand seigneur » que Balzac avait voulu peindre en 1835 quand il songeait à un autre projet, celui du Grand Propriétaire : et ce bienfaiteur, loin d’être obsédé par le maintien d’un de ces latifundia inutiles et intouchables, pense avant tout au bien-être de ses paysans et n’hésite pas à organiser une parcellisation de son territoire pour assurer la prospérité générale. Certes, Véronique Graslin garde la nue-propriété : mais elle se conduit en cela comme un grand propriétaire capitaliste et non comme le maître absolu d’une immense forêt domaniale. Alors quelle est la solution du problème des latifundia ? Compte-t-on sa richesse, comme en Ukraine, par le nombre d’âmes auxquelles on dispense la prospérité ? L’opinion de Balzac sur les paysans n’est pas moins embarrassante. Ils sont représentés dans Le Curé de village par cette belle et solide famille Tascheron qui est l’image même de la probité et de l’honneur. La dernière messe à l’heure même où leur fils est supplicié, le départ de la famille, groupée autour des deux ancêtres, partant pour l’exil comme les Hébreux au jour de l’Exode, cette gravité, cette simplicité biblique sont une des pages les plus émouvantes de Balzac. Alors, les paysans, qu’est-ce qu’il faut en penser ? Est-ce les Tascheron du Curé de village ou les Tonsard représentés dans Les Paysans ? Malgré les recherches qui ont apporté beaucoup en nous renseignant sur la rédaction du Curé de village, il semble qu’il y ait encore des lacunes dans l’information qu’on a pu réunir. Les travaux sur les « sources » du roman se bornent à des indications générales. Nous savons seulement que Balzac a traversé les vallées du Limousin qu’il décrit dans son roman dans le voyage qu’il fit à la fin d’août 1832 d’Angoulême à Aix-les-Bains où il devait rejoindre la marquise de Castries. Il visita Limoges sous la conduite de Philippe Nivet, le neveu de Mme Carraud. La route qu’il prit ensuite pour se diriger vers Thiers et Clermont est celle que suit dans le roman l’abbé de Rastignac, secrétaire de l’évêque de Limoges, pour aller chercher l’abbé Bonnet dans son village de montagne. Mais on n’est pas parvenu jusqu’à présent à identifier avec certitude le site de Montégnac, bien que Balzac ait précisé qu’il se trouve aux confins de la Haute-Vienne et de la Corrèze. Source analyse : Préface tirée du 21ème tome de La Comédie Humaine éditée chez France Loisirs en 1987, d’après le texte intégral publié sous la caution de la Société des Amis d’Honoré de Balzac, 45, rue de l’Abbé-Grégoire – 75006 Paris.

L’Histoire A Limoges, le vieux ferrailleur auvergnat Sauviat et sa femme ont une fille, Véronique, qu’ils élèvent comme une parfaite chrétienne. Silencieuse, passionnée sans le savoir, Véronique épouse le banquier Graslin, richissime. Elle devient la femme la plus parfaite de Limoges, respectée pour son intelligence et sa vertu. Personne, sauf sa mère, ne sait qu’elle est devenue la maîtresse d’un très jeune ouvrier de son père, Tascheron, qui l’aime passionnément. Tous les deux veulent fuir, s’aimer au grand jour. Ils pensent à un vol au dépens d’un vieil avare seul et détesté. Le vol tourne mal : le vieil avare et sa servante sont tués. Véronique n’a rien vu mais elle a tout compris. Découvert, Tascheron est condamné et supplicié : mais personne ne soupçonne le mobile qui a transformé en assassin un jeune homme doux et honnête, le plus jeune fils d’une famille paysanne irréprochable. Véronique dissimule ses tortures, elle attend un enfant. Son fils naît le jour même où son jeune amant subit son supplice. Devenue veuve du vieux Graslin, Véronique se condamne à expier le meurtre auquel elle a été secrètement associée. Elle s’établit à Montégnac, village misérable où vivaient les Tascheron. Pour réparer, elle assainira les pentes arides de Montégnac et assurera par d’immenses travaux la prospérité des paysans pauvres qui habitent le village. Elle se confie à l’abbé Bonnet, un saint, qui a lui-même transformé les habitants de cette paroisse et qui a accompagné le jeune Tascheron jusqu’au pied de l’échafaud. Sous sa direction, elle s’entoure des concours les plus éclairés, fait établir un barrage, canalise les eaux qui rongeaient le sol et change une région désolée en un paysage heureux. Cette réparation qu’elle offre en secret à celui qu’elle a aimé est une réparation devant les hommes, ce n’est pas encore une réparation devant Dieu. Son regard fixé sur la tombe villageoise de son jeune amant qu’elle a voulu avoir sous les yeux est, pour le prêtre qui la dirige, une persévérance dans le péché. Les pénitences impitoyables qu’elle s’impose ne suffisent pas à effacer cette destination coupable de ses œuvres. Elle comprend, grâce à l’abbé Bonnet, qu’elle est encore une pécheresse par la forme de son repentir et que ce repentir n’est chrétien que s’il est offert à Dieu seul, en parfaite repentance et en parfait oubli des passions terrestres. C’est à ce dénouement que le doux apôtre du village parvient à la conduire. Elle meurt en confessant publiquement sa complicité et en déchirant aux yeux de tous la robe de vertu sous laquelle on la vénérait, en se présentant comme la pécheresse qu’elle est et qui a encore à obtenir son pardon. Paris, Janvier 1837. – Mars 1845. Source : Le résumé de l’histoire provient de la préface contenue dans le 21ème tome de La Comédie Humaine éditée chez France Loisirs en 1987, d’après le texte intégral publié sous la caution de la Société des Amis d’Honoré de Balzac, 45, rue de l’Abbé-Grégoire – 75006 Paris.

Les personnages Abbé Bonnet : Curé à Montaignac, né en 1788. L’abbé Bonnet a une sœur et un frère, le général Bonnet. Général Bonnet : Frère de l’abbé Bonnet, tué à Leipzig. Jérôme-Baptiste Sauviat : Marchand de fer à Limoges, né en 1747 et mort en 1827. Il épouse Mlle Champagnac, fille de Champagnac, chaudronnier à Limoge. Champagnac : Chaudronnier à Limoge, père de Mlle Champagnac. Mlle Champagnac : Epouse de Jérôme-Baptiste Sauviat. Pierre Graslin : (1775-1831), banquier à Limoges. Il épouse en 1823 Véronique Sauviat. Véronique Graslin : Née en 1802, elle est la fille de Jérôme-Baptiste Sauviat et de Mlle Champagnac. Epouse de Pierre Graslin. Elle meurt en 1844. Grégoire Gérard : Ingénieur à Montégnac, il devient par la suite le maire de cette même commune. Il épouse Denise Tascheron en 1844, sœur de Jean-François. Tascheron : Famille de Montaignac qui, suite au malheur de leur famille (exécution de Jean-François Tascheron), s’expatrie en Amérique. La famille compte encore les grands-parents, parents, deux filles et 4 enfants. Jean-François Tascheron : né en 1806, Jean-François est ouvrier. Il est exécuté en 1829 pour vol et crime. Source généalogie des personnages : Félicien Marceau « Balzac et son monde » Gallimard.

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